Auto-liée pour un Maître

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il y a 3 ans
Les confidences érotiques d’une soumise s’attachant pour un Maître

Un colis très spécial est arrivé pour moi aujourd'hui, c'était un petit paquet mais la pesée m'a dit que c'était ce que j'attendais avec impatience.

Avec les mains tremblantes, je le posai à côté de mon lit et me préparai pour le travail. Toute la journée j’imaginais à quoi ressemblerait cette soirée, j'ai même imaginé des hommes avec qui je travaille comme celui qui placerait les articles dans le paquet pour moi. Ceci, bien sûr, ne devait pas être, mais les fantasmes ont cessé de le faire et passent rapidement et à mesure que l'heure d'arrêter approchait, je me suis retrouvée presque tremblante à la simple pensée de ce qui allait arriver.

Le retour à la maison a pris une éternité, mais quand je suis arrivée et j'ai marché lentement jusqu'à la porte comme si rien n'allait se passer ce soir. Après être entrée dans ma maison, j'ai verrouillé la porte et tiré vers le bas les pares de soleil, puis je suis alleé dans la salle de bain et j'ai enlevé tous mes vêtements.

Ma culotte dégoulinait à cause de l'état d'excitation constant que j'avais eu dans tout journée. J'ai pris une douche rapide en m'assurant de nettoyer chaque crevasse afin que il se soit pas être en colère quand il arrive. Une fois que je me suis nettoyée et séchée, un dernier regard dans le miroir et pour voir la chair de poule sur ma chair malgré la chaleur de la chambre. Mes mamelons ont durci comme de minuscules rochers alors que je prends ma culotte et retourne nu dans ma chambre. Je suis presque haletante de désir alors que je déballe le paquet et retirer le contenu à l'intérieur, mes lèvres s'humidifient pendant que mes mains courent à travers les contraintes assorties et à la recherche des clés.

Après quelques moments je les trouve et les emmène dans le hall d'entrée et les pose sur le table comme les instructions, puis je retourne dans ma chambre pour finir de suivre les commandes qui m'ont été données. D'abord je prends ma culotte encore humide et l’emballe dans ma bouche, goûtant pour la première fois ma propre saveur sucrée, puis je retire le bâillon-boule de mon précieux paquet et l'attache pour faire taire l’esclave indigne et pour que je n'ennuie pas mon maître avec des indésirables plaintes.

Le prochain article que je retire de l'emballage est un gros plug anal, je tremble en voyant combien il est grand mais les ordres du maître ne doivent pas être refusés, heureusement m'a donnée la permission de le lubrifier car mon cul qui est encore vierge et je ne fais rien pour le mettre en colère encore. Je gémis dans mon bâillon alors que sa tête pénètre mon cul, le sentiment ne ressemble à rien de ce que j'ai jamais ressenti, c'est assez inconfortable, même douloureux car la partie la plus large écarte les lèvres de mes fesses. Enfin il glisse tout entier dans le chemin dans une ruée momentanée de plaisir m'amène presque à orgasme.

Maintenant que c'est en moi, c'est TRÈS inconfortable, presque comme si j’avais besoin en permanence aller aux toilettes mais la taille de la chose l'empêche. Je l'ai presque retiré mais réalisé que le Maître me punirait pour une telle action donc je continue. L'article suivant est une paire de menottes avec une courte chaîne entre les deux, alors que chacun se ferme, je soupire et commence une fois encore à sentir le feu brûler entre mes jambes avec le plug anal qui pousse.

Les talons hauts que je mets ensuite sont beaucoup plus hauts que ce à quoi je suis habituée vers et entre eux et les chaînes, je suis sûre que marcher sera une corvée, j’espère ne pas tomber en apprenant à marcher dedans. L'article suivant que je trouve est une paire de pinces à tétons avec une chaîne les reliant. je frissonne à l’idée de ce que mes tétons ressentiront, mais sais que le maître sera mécontent si je ne les mets pas. Avec plus qu'un peu d'appréhension, je pose la première à mon sein droit, la douleur me brûle comme une flamme et je momentanément décide de l'enlever mais sais que le maître ne serait pas content alors je continue avec l’autre.

Maintenant, mes deux mamelons brûlent de douleur et je crains que je n’y arriverai pas et que j'ai la f o r c e de les porter jusqu'à ce qu'il rentre à la maison, pourtant je continue sachant que ça lui fera plaisir. L'article suivant est un collier en cuir souple à mettre autour de mon cou, le toucher et l'odeur du cuir sont suffisants pour que j'aie presque oublié le feu sur mes seins. Comme je verrouille avec amour mon collier d'esclave, je peux presque l’imaginer debout au-dessus de moi, alors que je lève les yeux de ma tâche, vois un aperçu de moi-même dans le miroir et décide de mieux me regarder.

S'élevant de mon lit je me dirige lentement vers la porte, ne trébuchant qu'une seule fois en chemin. Une fois que j’ai atteint ma destination, je ne peux pas croire à quoi je ressemble dans mon miroir. Lentement, je regarde par-dessus mon corps en commençant par ma tête, ma bouche est bien tendue, le bâillon boule que j'ai placé là et complimente bien le col derrière mon cou. Alors que mon regard baisse, je vois mes seins pour la première fois, les des clips d'argent qui y sont connectés ont étiré mes mamelons plus loin que simple la dureté pourrait expliquer et la chaîne descend magnifiquement chaque de mon seins coquins les rendant plus beaux que je n'en ai jamais vu.

Ensuite, mes yeux errent sur mon sexe fraîchement rasé et je peux voir une goutte de humidité perlant entre les lèvres de ma chatte, de là mon regard erre sur ma longue jambes à les magnifiques chaînes enroulées autour de mes chevilles, enfin je vois mes pieds tenir convenablement dans les talons hauts qu'on m'a dit de porter.

Je ne suis pas habituée mais la vue de moi-même liée comme ça m'a fait CHAUD, je commencer jouer avec moi-même sur le chemin du retour au lit et en quelques instants je suis sur le au bord de l'orgasme, la seule chose qui m'arrête c'est le souvenir de son ordre que je ne dois pas jouir sans sa permission, cette petite transgression volonté me faire probablement punir. Avec beaucoup de réticence, je brise ma transe et faire mon retour vers le mauvais et les quelques jouets restants.

L'élément suivant est un bandeau et je caresse sa noirceur soyeuse pendant de longs instants avant de la mettre et d’entrer dans l'obscurité f o r c é e. Il m'a fallu plusieurs secondes de tâtonner dans le l'obscurité pour trouver ma prochaine retenue mais maintenant j'étais déterminée à compléter ma mission et montrer à mon maître à quel point j'étais bon. C'est difficile d’enchaîner mes coudes derrière moi dans le noir, et il m'a fallu plusieurs minutes pour l’accomplir.

Il ne restait qu'une chose, et c'était de me menotter les mains ensemble et attendre que mon maître arrive. En quelques instants, c'était fait et maintenant c'était temps de l'attendre, totalement impuissante dans l'obscurité de mon auto imposée de mon esclavage. Alors que les minutes s'écoulaient lentement, je suis devenue de plus en plus consciente du l'inconfort causé à la fois par le plug anal et les pinces à téton, je devais persévérer essayant patiemment de passer la nuit, heureuse d’imaginer que j’aurai enfin un vrai maître, au lieu de mon imagination, il sera content de mes capacités.....

Frenchroastcoffe

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Il faut bien se donner du plaisir et cette soumise à eu beaucoup de courage et volonté. Merci pour ce récit
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